IRRIGATION-IRRITATION
Non je ne vous ai pas oublié, mais un fatal arrêt cardiaque de la carte mère de mon ordi m'a causé bien du tracas. Donc entre deux déboires informatiques pour essayer de récupérer des sauvegardes....Heureusement j'en avais fait quelques unes et pas des moindres, je me contentais de faire la tournée des blogs avec la jolie nouvelle babasse de Dame Framboise.
Pour ce qui me concerne, si tout n'est pas résolu aujourd'hui ( et oui privilégier l'artisanat local, contrairement à ce que je pensais il y a quatre ou cinq billets en arrière n'est pas toujours la meilleure solution) je reprends malgré tout mes habitudes. Me voilà de nouveau, sévissant sur la blogosphère. Comme avec ces petites contrariétés et une météo de Toussaint qui persiste,mon humeur est chagrine ce billet entrera dans la catégorie : « dans quel état j'erre ».
Tout à l’heure en allant rendre visite à belle maman au long-séjour de la Côte Saint André, la couleur du ciel n’était pas d’un bleu azur estival,
Pourtant, en passant le long des cultures intensives de la plaine, qu’ aperçois-je installé sur les terres inondées ?
Eh oui vous avez bien vu, une batterie de matériel d’arrosage prête à sévir aux premiers rayons de soleil !
Il faut savoir que grâce au bon sens de nos élus européens et de leurs commissions agricoles, les primes à l’irrigation sont parfois plus rentables que la culture elle-même, alors la fin (faim) justifie-t-elle les moyens ? ? Quoiqu’il en soit j’ai beau scruter l’horizon que ce soit dans le ciel
Ou dans l’intelligence raisonnable de ceux qui on en charge l’avenir de la planète, je ne vois pas la moindre
ECLAIRCIE !